Cette semaine, le décès de l’acteur incarnant le personnage J.R. dans la série « Dallas » sonnait comme un rappel : ce monde est décidément impitoyable. Impitoyable aussi, la cyberattaque chevaleresque dont aurait été victime l’Elysée à quelques jours du second tour des élections présidentielles.
Le Télégramme avait été le premier média a annoncé l’information et selon ses sources, l’attaque émanait d’alliés de la France ! L’Etat a tôt fait de commandé une enquête pour tirer l’affaire au clair. Et les conclusions sont pour le moins surprenantes : l’attaque aurait été commanditée par les Etats-Unis !
Interrogé par les journalistes de l’Express, le secrétaire d’Etat à la sécurité intérieure américaine n’a pas souhaité confirmer ou démentir les rumeurs. Janet Napolitano s’est toutefois empressée de se montrer rassurante sur l’importance de la France outre-Atlantique : « Nous n’avons pas de partenaire plus important que la France, nous n’avons pas d’allié plus grand que la France. Nous coopérons dans de nombreux domaines touchant à la sécurité. Et je suis là pour renforcer encore davantage ces liens et en développer de nouveaux »
On en sait également davantage sur les méthodes employées par les pirates. Les Hacker ont exploité la candeur d’employés de l’Elysée très prompt à accepter comme « amis » sur Facebook des inconnus. Les employés ont reçu un message leur demandant de se connecter sur l’intranet du site de l’Elysée. Et sans se douter de rien, les victimes du piratage ont été redirigées vers une copie su site internet créée par les Hackers pour récupérer les sésames leur donnant accès au réseau.
Les pirates en ont profité pour véroler le site avec un virus capable de récupérer des documents stratégiques. L’attaque exigeait une technicité d’un tel niveau que les enquêteurs ont restreint le champs à quelques pays. Dont les Etats-Unis.